Second roman de Jérémie Guez, jeune auteur ayant déjà commis Paris la nuit. Le lecteur y retrouve un antihéros: un jeune prénommé Tony, issu de la classe sociale la plus défavorisée, ayant la particularité d’être le métis d’un gitan de passage et d’une mère qui n’a pas eu une bonne idée.