À soixante-six ans, le fils retrace l’histoire paternelle en bande dessinée. Un récit en trois couleurs. Le quotidien de milliers d’hommes gardés comme des pièces de viande par des fonctionnaires déshumanisés. Des humains parqués, qui souffrent, rigolent, s’emmerdent en essayant de survivre tous les jours.

Moi, René Tardi, prisonnier de guerre au stalag II B de Tardi aux éditions Casterman, 160 pages, 25 euros.